Des fans de houmous par ici ? Tout le monde connait le traditionnel houmous à base de pois chiche et purée de sésame, mais est-ce que tu as déjà essayé avec des légumes ? Aujourd’hui je te propose une recette de houmous de patates douces inspirée d’Hervé Cuisine, simple et rapide à réaliser.
Le gras est indispensable pour notre corps et les huiles végétales sont de véritable atouts pour notre santé. Dans ma recette de houmous j’ai utilisé de l’huile de Colza. Une huile riche en vitamine E, en Oméga 3 et 6 des acides gras dits essentiels car notre corps ne peut pas en fabriquer. Les oméga 3 et 6 contribuent à maintenir un taux normal de cholestérol à condition de ne pas en consommer en excès car leur effets bénéfiques risquent de disparaître. C’est une question d’équilibre, manger de tout sans excès !
Sais-tu que le colza est à l’origine issu d’un croisement naturel ancien du chou et de la navette ? D’abord cultivé en Chine pendant l’antiquité avant d’être introduit en france au 18ème siècle. Cette huile peut être utilisée en assaisonnement, dans les pâtisseries et viennoiseries, en cuisson… et dans tes houmous maison of course ;)
Difficulté ★☆☆☆
Recette pour 4 à 6 personnes
Temps de préparation 30min
Temps de cuisson 30min
Ingrédients :
1 patate douce d’environ 200g
1 càc. de curry
1 càs. de miel
1 petit morceau de gingembre frais
2 gousses d’ail
4 càs. d’huile de colza
100g de pois chiches cuits
2 càs. de purée de sésame
Mélange de graines germées
Pignons grillés
Olives noires
Grenade
1 pincée de fleur de sel
4 tours de moulin à poivre
Préparation :
Eplucher, rincer et couper en cubes la patate douce.
Cuire 20 min environ à la vapeur.
Laisser refroidir un peu.
Placer tous les ingrédients sauf les pignons, la grenade, les olives et les jeunes pousses, dans le bol du robot mixer.
Mixer jusqu’à obtention d’une texture lisse et onctueuse.
A servir avec de l’huile de colza sur le dessus, des graines de grenade, olives noires et des graines germées.
La saison des courges et des potirons fait battre nos coeurs la chamade, pas vrai ?Je vous propose cette soupe de potiron et son oeuf poché : simple, rapide et efficace elle réchauffera les petits coeurs et apportera du soleil sur la table. J’ai accompagné ma soupe avec un garlic bread, terrible !
Difficulté ★☆☆☆
Recette pour 4 personnes
Temps de préparation 30min
Temps de cuisson 30min
Ingrédients :
1 potiron
2 petites pommes de terre
1 gros oignon
1 gousse d’ail
1 cube de bouillon de légumes (sans sel)
4 pincées de fleur de sel
4 tours de moulin à poivre
750ml d’eau
Pour les oeufs pochés :
4 œufs
1 cas de vinaigre blanc
Préparation :
Pour la préparation des oeufs pochés inratables c’est ici. Je vous conseille de mettre l’eau à chauffer pour les oeufs pochés en premier et de passer ensuite à la préparation de votre soupe. Une fois que l’eau pour les oeufs pochés est à ébullition vous pourrez jongler entre la soupe et les oeufs.
Préparation de la soupe :
Eplucher le potiron, enlever les pépins et couper la chair en cubes.
Eplucher l’oignon et l’ail et les couper grossièrement.
Placer le tout dans une marmite ; pomme de terre, potiron, oignon, ail.
Ajouter le cube de bouillon de légumes et l’eau.
Couvrir et laisser cuire à feu moyen environ 30min.
Vérifier la cuisson en plongeant un couteau dans les morceaux de pomme de terre et potiron.
Mixer le tout à l’aide d’un mixeur plongeant.
Dressage : Une fois les oeufs pochés prêts, les déposer délicatement sur la soupe. Ajouter une pincée de fleur de sel et un tour de moulin à poivre avant de servir. Je vous conseille de servir la soupe dans de grandes et larges assiettes pour avoir une bonne quantité de soupe tout en évitant d’avoir trop de hauteur dans l’assiette au risque de noyer l’oeuf dans la soupe.
Nous sommes de plus en plus attentifs à ce que nous mangeons et la prise de conscience face à ce qui se trouve dans nos assiettes semble être sur la bonne voie. La même conscience n’est pas encore tout à fait accordée aux matériaux que nous utilisons pour faire mijoter tous nos bons petits plats de saison et faits maison.
Pourtant
tous les matériaux ne se valent pas, tant sur le plan de la santé que sur
celui de l’hygiène et du goût. Petit tour de table de nos casseroles,
poêles et autres cocottes, façon « Que choisir ? » ;)
Les poêles antiadhésives, sur une base aluminium ou tout inox sont revêtues de Téflon ou PTFE qui permet l’anti-adhérence de l’article de cuisson. Le PTFE n’est en soit absolument pas toxique, ce qui peut l’être en revanche ce sont les solvants qui servent à le faire adhérer au support (inox ou aluminium). Ces solvant peuvent parfois contenir du PFOA (perfluorooctanoïque) ou PFOS (perfluorooctanesulfonique) qui sont des substances qui, une fois la poêle mise en chauffe, vont s’évaporer et être potentiellement toxique qui l’utilisateur.
Il reste quelques applicateurs en France tels queCRISTEL qui garantissent leurs articles de cuisson sans PFOA ni PFOS lors de leur application. Le gage d’un article sain pour l’homme et son environnement. En outre, CRISTEL propose le rechapage de l’article anti-adhérent quand celui-ci est usé, ce qui évite de jeter l’article mettant ainsi fin à l’obsolescence programmée.
Le revêtement céramique, lui, n’est pas suffisamment résistant à l’utilisation, il a tendance à facilement s’user et reste difficile à contrôler en cuisson car trop conducteur de chaleur. En outre, le plomb et le cadmium contenus dans ce revêtement peuvent finir dans la nourriture que nous ingérons et par conséquent dans notre organisme. Il en est de même pour l’aluminium et le cuivre.
Parmi tous les matériaux l’inox semble être le plus sûr pour la cuisson de nos aliments et pour notre santé. L’inox, alliage de fer et de carbone, est un acier inoxydable. À cet alliage, on peut ajouter d’autres éléments, comme du chrome, qui a la particularité de résister à la corrosion, c’est-à-dire à la rouille, et du nickel qui améliore les propriétés mécaniques. On y trouve également du molybdène ou du titane qui améliorent la résistance aux températures extrêmes.
Depuis que j’ai essayé l’inox, je ne peux plus me passer de ce mode de cuisson. L’inox présente de nombreux avantages. Il permet de cuisiner sans ajout de matière grasse pour une cuisine saine et équilibrée. Les valeurs nutritionnelles ainsi que les saveurs et les couleurs des aliments sont préservées en totalité. L’inox n’émet aucune toxine au contact des aliments ce qui garantit un usage quotidien et sûr.
Solide, écologique, haut de gamme… avec un bon entretien ce métal, particulièrement résistant, a une longue durée de vie. Le temps ne semble absolument pas avoir d’emprise sur lui puisque c’est un matériau qui conserve son brillant au fil des années. Cerise sur le gâteau, et pas des moindres, le nettoyage de l’inox est facile et rapide. Quand la température de cuisson de cuisson est respectée, les aliments n’adhèrent pas ce qui facilite le nettoyage. Il passe également au lave-vaisselle sans problème.
L’inox, robuste et inoffensif pour nos petits corps, si toutefois vous choisissez un inox de qualité. La mention « inox 18/10 » permet de s’en assurer. Pour l’inox 18/10, le 18 correspond à un ajout de 18% de chrome et le 10 correspond, lui, à un ajout de 10% de nickel. Il existe d’autres types d’inox, comme le 18/0 ou le 18/8, le 18/10 étant de meilleure qualité adaptée à la cuisson.
Aujourd’hui il existe de nombreuses marques et je dois avouer que mon chouchou en la matière c’est CRISTEL pour de nombreuses raisons ; une entreprise française, engagée, basée à Fesches-le-Châtel dans le Doubs qui propose différentes gammes de produits au design très attrayant et élégant. Pour plus de détails je vous invite à consulter mon article sur la maison CRISTEL ses valeurs et son engagement quotidien.
Et du coup ! bah !… moi je profite de mes dernières tomates cerises de la saison. Une cuisson sans matière grasse, déglacée simplement au vinaigre balsamique. Une pincée de fleur de sel, à servir sur une tranche de pain et une bonne burrata… le début du bonheur !
Les fruits rouges ma passion, on profite des dernières fraises pour réaliser une recette ultra simple et qui en jette. Une pâte sablée à réaliser en un tour de main, une crème citron gourmande et acidulée, des fruits… pour un dessert à l’effet wahouuu garanti !
Difficulté ★★☆☆
Recette pour une dizaine de tartelettes
Temps de préparation 60 min
Temps de cuisson 30 min
Temps de pause 30 min
Boîte à ingrédients :
Fraises
Framboises
Groseilles
Quelques feuilles de menthe ou basilic
Pâte sablée :
200 g de farine
100 g de beurre
70 g de sucre glace
1 œuf
1 pincée de sel
Crème citron :
2 citrons
2 citrons verts
3 œufs
100 g de sucre
1 c à s de maïzena
Préparation :
Préparation de la pâte sablée : sortir le beurre du réfrigérateur minimum 30 min avant de vous mettre derrière les fourneaux. Dans un saladier mélanger le sucre glace et le beurre puis ajouter la farine, l’œuf et une pincée de sel. Mélanger jusqu’à obtenir une pâte homogène.
Former une boule que vous replacez dans le saladier, couvrir et mettre au réfrigérateur une petite demi heure minimum. Détacher de petites boules de pâte et l’étaler directement dans les moules à tartelettes avec les doigts.
Cuisson de la pâte sablée : piquer les fonds de tartelette avec une fourchette. Faire cuire la pâte à blanc 15 min environ à 180°. Laisser refroidir avant de démouler.
Préparation de la crème citron : rincer les citrons, zester un citron et un citron vert. Mettre le jus des citrons et les zestes dans une casserole, ajouter le sucre et la maïzena. Faire chauffer à feu doux tout en remuant. Une fois que votre préparation s’épaissit sortir du feu, laisser refroidir et ajouter les œufs. Remettre sur le feu et continuer à remuer jusqu’à obtenir d’une crème épaisse. Laisser refroidir la crème citron, filmer au contact et placer au réfrigérateur 1h environ.
Montage : tapisser le fond des tartelettes avec la crème citron. Ajouter les groseilles, fraises et framboises. Ajouter quelques gouttes de citron, des zestes et feuilles de menthe ou basilic.
Les pommes de terre de primeur sont un produit saisonnier. Elles sont récoltées au printemps avant complète maturité et se consomment jusqu’à la mi-août.
Cette saisonnalité leur donne une extrême fraîcheur. Elles ont une peau claire et fine qui s’enlève facilement sans épluchage. Haha finie donc la corvée de l’épluchage ! Qui dit extrême fraicheur dit aussi fragile, il faut les bichonner et les consommer rapidement après leur achat. Évitez la lumière et conserver-les dans un endroit frais, le bac à légume du réfrigérateur convient parfaitement.
Ce sont de véritables trésors de nos terroirs français. Elles
sont cultivées principalement dans des zones littorales ensoleillées, au sol
sablonneux : Bretagne, Noirmoutier, Sud de la France. Les plus tardives nous viennent
des régions du Nord : la Manche, l’Alsace et le Val de Saône.
Avec sa chair fondante la pomme de terre de primeur est particulièrement adaptée à certaines cuissons : rissolées, en salade, au four ou encore à la vapeur. Dans ma recette aujourd’hui j’ai choisi de les cuire à l’eau avant de les caraméliser très légèrement dans un filet d’huile d’olive et de miel entières. Il ne reste plus qu’à ajouter les giroles et suprêmes d’orange pour sublimer le tout.
Difficulté ★☆☆☆
Recette pour 4 personnes
Temps de préparation 20 min
Temps de cuisson 30 min
Boite à ingrédients :
800g de pommes de terre de Primeur – les choisir de préférence de petits calibres
250g de girolles
2 oranges
2 branches de romarin
4 càs d’huile d’olive
4 càs de miel
1 échalote
1 citron
2 gousses d’ail
4 pincées de fleur de sel
4 tours de moulin à poivre
Préparation
:
Préparez vos suprêmes d’orange et réservez.
Rincez les pommes de terre de Primeur et frottez légèrement la peau si besoin.
Faites-les cuire, avec la peau, dans un grand volume d’eau salé 15 minutes.
Vérifiez la cuisson avec la pointe d’un couteau.
Égouttez les pommes de terre de Primeur et réservez.
Épluchez l’ail, l’échalote et les ciseler.
Versez l’huile d’olive dans une poêle.
Une fois l’huile bien chaude faites-y revenir l’échalote et l’ail ciselés.
Ajoutez les pommes de terre de Primeur avec la peau, le miel et faire revenir 10 minutes.
Une fois que vous avez obtenu une jolie et légère caramélisation des pommes de terre de Primeur ajoutez les giroles, le romarin et prolongez quelques minutes la cuisson.
Ajoutez hors du feu les suprêmes d’orange et mélangez.
Dressez et ajoutez du zeste de citron, un tour de moulin à poivre et une pincée de fleur de sel avant de servir.